Des larmes dans mon whiskyPour tromper les déboiresDiluer l’ignominie de la vieEt rafraîchir les idées noiresTriompher des dramesPleurer les dames, nos états d’âmeS’ouvrir à la lumièreSourire à la lumière VP
Des larmes dans mon whiskyPour tromper les déboiresDiluer l’ignominie de la vieEt rafraîchir les idées noiresTriompher des dramesPleurer les dames, nos états d’âmeS’ouvrir à la lumièreSourire à la lumière VP
J’ai besoin de parlerMais à qui, de quoi ?I feel so lonelyFou qui sortiraitDe je-ne-sais-oùJe-ne-sais-quoiEnvie d’amour, peut-êtreEt pourquoi pas ?Ou je ne sais pasCe que ce ne serait pasSinon que cette envieAu fond de moiQu’a-t-elle à faire en moiPourtant, tu m’as lassé, jadisSur la route, errantLes méandres tortueuses me laissant vicesVide et versent-là les mauxDe …
50 or 51It’s about the sameJust a drunken sailorLooking for his mermaid…Or his barmaid VP
Qu’il est moins dur de dire que l’on haïtQue dire que l’on aimeCar jamais même Jacques BrelNe dit « je t’aime »Il le chanteDans ses poèmes » VP
Les cyprès me paraissent si loin, à la fois Que quand le soleil se couche, ses rayons s’éloignent Comme pour se cacher de moi Ils semblent se dissimuler exprès derrières les cyprès Pour gâcher ma joie ou pour éviter Que je m’évade les poursuivre Visiblement, même le soleil se cache pour mourir VP
Ton corps chantait la partition divine de mon cœurTon esprit menait le combat de ma passion pour notre chansonÀ eux deux, ils donnaient le sens aux maux et aux odeursCe que jamais les mots n’expriment, dans le fondHier soir, les chœurs se sont élevés au-dessus de la voixEt tes notes envolées au-dessus de ma portée, …
On appelle ça la beauté de l’être Mais moi, je suis de ces gens À ne considérer que peut-être La poésie est l’assassine du sang Du sens dans mes mots Quand les maux brûlent sous nos yeux Mettre la flamme dans le beau Mettre le feu entre nous deux Nos âmes que je vois, fuyantes …
Demain, je me ferai un flicQuand l’odeur de la poudreCaressera le parfum de la musiqueDès l’aube, oui, s’abattront nos foudresDemain, cet inconnu qui gît, làOu cette bête que je ne reconnaitrai pasVaciller dans les feux de l’enferBrûler dans les yeux de LuciferMon pays, ne te vois-tu pas sombrer, par-terre ?N’entends-tu pas ces cris perdus depuis …
Il est 4h, Paris s’éveille dans une heure Le silence des vivants m’entraîne dans la torpeur Les bras de Morphée m’ont rejeté cette nuit, alors Je déambule dans les rues de capitale, seul, dehors Vers Strasboug-Saint-Denis, je fais demi-tour Traverse la rue et rencontre un gars Il me demande une clope, me dit qu’il marche …
J’ai noyé la solitude dans le chagrin Rempli cette fille de joie au regard vide Quand ne saoule plus bière ni vin Que les ébats aux profondeurs insipides Le parfum de la volupté Et la crasse de la tendresse Donnent en songe la torpeur ou la détresse Des draps mouillés de ces pauvres caresses Quand …